En 2021, plus de 100'000 articles ont été publiés dans le monde autour de l'utilisation des technologies numériques dans l'éducation et de leurs effets. Conséquence: il est possible d'étayer n'importe quelle position par au moins un résultat d'étude pertinent. Benjamin Volland explique comment distinguer, dans le flot de résultats, les études convaincantes de celles qui le sont un peu moins. Et que faire de leurs résultats.

0:00 -:--
Télécharger le podcast

Ce podcast est disponible sous licence Creative Commons CC BY-NC-ND.

Avez-vous manqué les précédents épisodes?

Retrouvez l'ensemble des épisodes de la série de podcasts de Benjamin Volland en un seul endroit.

Souhaitez-vous en savoir plus sur le rapport?

Vous trouverez les principaux constats, des analyses par degré scolaire, des graphiques et tableaux dans le rapport au format PDF.

Articles associés

Qu'est-ce que le fédéralisme suisse a en commun avec la blockchain? Les deux mettent l'accent sur l'autodétermination des petites unités. Lors de notre colloque 2023 sur le thème «blockchains dans la formation», nous nous pencherons sur cette tendance à l'autodétermination. Nous examinerons aussi les significations possibles pour le système éducatif, qui a fait ses preuves en matière de fédéralisme.

Les données sur l'éducation et l'apprentissage sont produites de diverses manières. David. H. Schiller est professeur à la Haute école spécialisée des Grisons et responsable du projet de recherche «Chemins de données de l'éducation numériques (Digitale Bildungsdatenwege)». Il explique pourquoi la mise en évidence de ces flux de données numériques aide à identifier les potentiels de développement.

Pour une politique d'utilisation des données qui tienne également compte des questions d'équité en matière d'éducation, il faut un dialogue avec toutes les parties prenantes: la recherche, l'environnement scolaire, les entreprises EdTech et l'administration de l'éducation. Le prof. Dr Kenneth Horvath, directeur du projet de recherche «Algorithmic Sorting in Education» à la HEP de Zurich, l'explique dans sa contribution.

Le 1er septembre 2023, la loi fédérale révisée sur la protection des données est entrée en vigueur. Pour les personnes privées (y compris les entreprises) et les organes fédéraux, cela implique des changements importants dans la manière de traiter les données personnelles et d'informer.