Dans ce premier épisode, Benjamin Volland se penche sur l'une des questions centrales qui revient sans cesse dans le contexte des médias numériques à l'école: à quoi sert leur utilisation? Il s'agit donc de savoir ce que nous savons de l'impact de l'apprentissage avec les médias numériques. Peuvent-ils soutenir l'apprentissage? La réponse à cette question n'est ni «oui» ni «non».

0:00 -:--
Télécharger le podcast

Ce podcast est disponible sous licence Creative Commons CC BY-NC-ND.

Avez-vous manqué un épisode?

Retrouvez l'ensemble des épisodes de la série de podcasts de Benjamin Volland en un seul endroit.

Vous souhaitez en savoir plus sur le rapport?

Vous trouverez les principaux constats, des analyses par degré scolaire, des graphiques et tableaux dans le rapport au format PDF.

Articles associés

Notre nouvelle rubrique a pour but d'informer, transmettre des connaissances et susciter des discussions. Notre premier Dossier Educa est consacré à la thématique très actuelle des «blockchains dans la formation». Notre colloque Educa23 était également placé sous ce thème; notre rétrospective vous donnera des informations détaillées sur cet événement.

La meilleure façon d'apprendre une langue étrangère est de la parler. Le temps de parole est toutefois souvent insuffisant dans le cadre scolaire. Un chatbot basé sur la voix pourrait y remédier. Co-directeur du projet «Towards a Voice-based Chatbot for Language Learners (ChaLL)», Michael Geiss de la HEP de Zurich explique notamment quelles sont les prémisses à respecter.

En raison de la rapidité des progrès technologiques, les conditions-cadres des technologies d'IA sont souvent peu claires, également dans le domaine de l'éducation. Le projet «Sandbox de l'innovation pour l'IA» vise à clarifier la réglementation. Raphael von Thiessen, chef du projet Sandbox du canton de Zurich, explique la démarche.

La nouvelle loi fédérale sur la protection des données (nLPD) entrera en vigueur le 1er septembre 2023. Que signifie-t-elle pour les écoles? Pour les écoles publiques, c'est la loi cantonale sur la protection des données qui s'applique comme précédemment.